Envie de sucré
Ce matin il fallait déposer la voiture chez le garagiste pour une réparation.
Je précise que nous n’avons qu’une seule voiture, c’est un choix et nous l’assumons donc nous nous organisons.
Au départ, il était prévu que mon mari s’y rendrait seul et reviendrait en bus mais j’ai voulu l’accompagner.
Tout c’est bien passé. Le bus du retour s’arrête à un kilomètre et demi de chez nous ce qui est peu pour nous qui aimons marcher.
L’après-midi, il fallait donc retourner récupérer la voiture au garage. Nous aurions pu prendre le même bus mais il faisait beau et nous avons décidé de faire le trajet à pied.
Nous voila donc partis pour cinq kilomètres et demi.
Les kilomètres ce n’est rien, ce qui est désagréable, c’est le paysage qu’il nous a fallu traverser loin de la belle campagne corse ou du bord de mer : une rocade très circulante, bruyante et polluée puis Mezzavia, puis la zone industrielle où par endroit les trottoirs sont inexistants.
Bref, arrivés près du but, nous décidons de faire une petite pose bien méritée et de nous offrir dans la galerie marchande de l’Atrium un coup à boire et, pourquoi pas pendant qu’on y est, une petite douceur.
Monsieur choisit du pain perdu et moi un brownie aux noix de pékan.
Mais qu’est-ce qu’il m’a pris de prendre un truc pareil ? C’était extrêmement sucré, j’en ai été écoeurée pour le reste de la journée. Je promets de ne plus jamais me laisser tenter comme ça.
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